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L' Hubris de l'Amérique chez Scorsese / Louis Andrieu
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Après "Kubrick" en 2011, Scorsese se voit élevé au statut de cinéaste universel incarnant le goût de l'époque, que tous les spectateurs, et les cinéphiles, se plaisent à revoir et à encenser. Demy, Burton, Antonioni, sujets de précédentes expositions événements, peuvent toujours susciter quelques réserves. Quels ressorts de l'oeuvre scorsesienne expliquent ce triomphe public ? Nous ne sommes pourtant pas tous New-Yorkais, pas tous Italo-Américains, pas tous marqués par une morale catholique...
Voir le numéro de la revue «Esprit, 421, 01/01/2016»
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