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Henri Guaino : "On ne retient que le mot de trop, l'insulte ou l'invective" / Emmanuelle Duverger
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On peut le trouver démodé, voire réac, mais certainement pas bling-bling. Lui reprocher son côté cocardier, l'emphase de ses discours, une certaine raideur. Mais on peut aussi être séduit par sa fibre républicaine, son allergie à l'air du temps et à ses petites lâchetés, ses aspérités, son franc-parler y compris à l'égard de la presse. Henri Guaino, "la plume" de Nicolas Sarkozy, ne laisse jamais indifférent. Il nous a reçus à l'Elysée, dans ce qui fut la chambre de Murat.
Voir le numéro de la revue «Médias, 24, 01/03/2010»
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