Livre

Belém / Edyr Augusto

Augusto, Edyr (1954-....). Auteur

Edité par Asphalte. Paris - 2013

Voir la collection «Fictions Asphalte»

Autres documents dans la collection «Fictions Asphalte»

Vérification des exemplaires disponibles ...

Se procurer le document

Vérification des exemplaires disponibles ...

Suggestions

Du même auteur

Nid de vipères / Edyr Augusto | Augusto, Edyr (1954-....). Auteur

Livre

Nid de vipères

Augusto, Edyr (1954-....). Auteur

★★★★

Asphalte. Paris : 2015

1 vol. (151 p.) ; couv. ill. ; 18 cm

Casino Amazonie / Edyr Augusto | Augusto, Edyr (1954-....). Auteur

Livre

Casino Amazonie

Augusto, Edyr (1954-....). Auteur

★★★★

Asphalte : 2021

1 vol. (200 p.) ; couv. ill. en coul. ; 20 cm

Chargement des enrichissements...

Avis

Avis des lecteurs

  • Belém 4/5

    Belém d’Edyr Augusto Belém dans les années 90, Johnny est retrouvé mort par Lola sa femme de ménage qui appelle la police. C’est Gilberto Castro qui vient, sans savoir s’il y a lieu d’enquêter. Johnny est un coiffeur célèbre, il connaît beaucoup de monde dans la haute société, on le dit gay, il fréquente un club la nuit. Lola le réveille tous les matins et quitte l’appartement dans l’après-midi, c’est son ex amant avec qui elle a eu une fille qui lui a trouvé ce boulot. Elle adorait Johnny, grâce à ce travail elle avait pu quitter la prostitution. Défile dans l’appartement, voisins, amis, une femme, Raï, très proche, sa fille est la filleule de Johnny. Castro s’installe et fouille, herbe, cocaïne, une armoire fermée, des photos des cassettes, il visionne, écœuré, il n’était pas que gay Johnny, pédophile, garçons et filles, très jeunes, il a envie de vomir. De plus Johnny se disait anglais il s’avère originaire de Guyana. Mais le labo confirme une mort par crise cardiaque due à une overdose, alors, y a t il matière à enquêter en attendant d’autres analyses? Castro, alcoolique va traîner dans sa boîte habituelle pour descendre des bières et retrouver les fréquentations de Johnny qui viennent régulièrement dans ce même lieu. Les filles sont belles, Castro seul… Un roman qui ne va pas révolutionner le genre mais qui par son écriture nerveuse et ses rebondissements va nous tenir en haleine jusqu’au bout. Un flic alcoolique, rien d’original mais la critique sociale des nantis locaux et les descriptions chirurgicales de l’auteur, ainsi que l’ambiance très érotique concourent à faire de ce polar un très bon moment de lecture.

    M. LAVEZE Gérard - Le 23 septembre 2024 à 06:51