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Agir pour un archivage électronique décarboné / Pierre Fuzeau
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Si l'archivage électronique permet de diminuer voire de supprimer le papier, il s'avère cependant consommateur d'énergie et de matières premières, pour concevoir les serveurs, les machines, etc. Il n'échappe donc pas à des démarches nécessaires de décarbonation, allant d'initiatives assez basiques (ne pas faire cohabiter plusieurs outils, ne pas conserver des doublons papiers et numériques...) à celles plus avancées : la mutualisation des ressources technologiques ; des technologies de stockage réparties ; la granularité de la conservation de l'unité d'archives ; l'espacement des migrations de formats ; la suppression des doublons des données et documents ; le "juste traitement" sans superflu. Détails. Pas de chiffres.
Voir le numéro de la revue «Archimag.com, 343, 01/04/2021»
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