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"Licorice Pizza" de Paul Thomas Anderson. Jeunesses américaines
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Ayant emprunté des chemins de traverse aberrants pour ne raconter rien d'autre que la naissance d'un amour, "Licorice Pizza" vous laisse dans un état de sidération douce et paradoxale. Douce en raison de la douceur du film lui-même, germée dans "The Master", "Inherent Vice" et "Phantom Thread", mais se déployant ici, sous les atours d'une romance légère et vintage, avec une limpidité nouvelle et bienfaisante - osons ce cliché de distributeur de films : on en sort heureux, léger, reconnaissant. Sommaire. Des joues pâles et rosissantes, la critique du film. Ce sentiment adolescent, entretien avec Paul Thomas Anderson. Anderson, l'enfance du dollar.
Voir le numéro de la revue «Cahiers du cinéma, 783, 01/01/2022»
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