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Matisse en fleur / Stéphane Guégan
Article
Aragon qui a beaucoup vu Matisse sous l'Occupation, le disait "hanté littéralement de Baudelaire". Il disait vrai. "Les Fleurs du mal" on toujours formé, pour une part essentielle, l'horizon poétique de sa peinture, une peinture de l'Eden menacé, de l'éros glorifié, de la créolité et, plus généralement, du "départ" vers l'inconnu.
Voir le numéro de la revue «Revue des deux mondes, 11, 01/11/2016»
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