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L' Affacturage et les PME. Démocratie en marche / Sophie Sébirot
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Les opérations d'affacturage ont augmenté de +6,6% sur les 9 premiers mois de l'année 2017 selon l'Association française des sociétés financières (AFS). Xerfi Precepta prévoit même un bond de 10% du CA des factors en 2017, après une hausse de 9% en 2016 à 258 milliards d'euros. Des chiffres qui s'expliquent par les atouts de l'affacturage : trésorerie immédiate, meilleure gestion du poste client et diminution des risques d'impayés. La bonne santé du secteur est ainsi portée par les grandes entreprises qui depuis la crise financière de 2008 et la contraction du crédit bancaire ont conservé une ligne d'affacturage. Les acteurs du secteur, confrontés à la concurrence des fintechs, se sont adaptés. Le prix a considérablement baissé, les pratiques se sont modifiées pour apporter plus de flexibilité et de simplicité aux clients, et les offres se sont élargies à de nouveaux produits et digitalisées. Données chiffrées.
Voir le numéro de la revue «Nouvel économiste, 1893, 17/11/2017»
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