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De l'Algérie au Soudan, les répliques du "printemps arabe" / Hicham Alaoui
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En 2019, les mouvements contestateurs dans le monde arabe s'inscrivent dans la droite ligne des révoltes de 2011-2012. Près d'une décennie plus tard, l'opposition exige toujours le démantèlement des pouvoirs en place, mais peine à y parvenir, faute de se structurer sur le plan politique. Dans le Golfe comme au Maghreb et au Proche-Orient, le confessionnalisme ne détermine plus les rivalités géopolitiques.
Voir le numéro de la revue «Le Monde diplomatique, 792, 01/03/2020»
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