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Manque d'agilité, perte de sens... Les grands maux des très grandes entreprises / Olivier Basso
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Focus sur les très grandes entreprises (TGE) et sur leur influence déterminante sur le devenir du monde, quand bien même elles n'ont aucune légitimité démocratique pour cela. Elles peuvent être des acteurs dont la puissance dépasse celle d'Etats. Ils peuvent aussi n'être que des colosses aux pieds d'argiles. En effet, il y a parfois un manque crucial d'intérêt pour l'innovation, la créativité (trop de cadres), qui peut faire perdre tout leur sens à ces multinationales, obsédées par le reporting. Enfin, elles peuvent apparaître dénuées d'intérêt pour les jeunes diplômés. Encadré sur la responsabilité de ces TGE. Exemple de la société de cosmétiques française L'Oréal.
Voir le numéro de la revue «L' Expansion, 810, 01/12/2015»
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