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De la place Royale au monument civique / Nicolas Lemas
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Peut-être plus que d'autres formes d'art, parce qu'elle est dépend de ses financements et techniques et qu'elle suppose un programme, l'architecture monumentale est un bon " révélateur, des évolutions politiques, sociales et culturelles d'une époque donnée. Elle fournit ainsi un cadre pertinent pour une séquence mêlant histoire et histoire de l'art. C'est en particulier vrai pour le XVIIIe siècle, marqué à la fois par une reconnaissance inédite du fait urbain et des transformations stylistiques importantes couplées à une nouvelle relation entre la forme et la destination d'un monument, où elle devient un véritable enjeu politique pour la monarchie et le public. En cherchant à lui donner un sens.
Voir le numéro de la revue «Historiens et géographes, 435, 01/07/2016»
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