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Tempête sur la Banque du Liban / Angélique Mounier-Kuhn
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Après neuf mois de vaines négociations avec le président Michel Aoun pour former un gouvernement, le premier ministre libanais Saad Hariri a décidé de jeter l'éponge. Dans un contexte social, économique et sanitaire désastreux, sa démission fait craindre le pire. Les responsabilités de la banque centrale et de son gouverneur dans le naufrage financier du pays sont désormais bien établies.
Voir le numéro de la revue «Le Monde diplomatique, 809, 01/08/2021»
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