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"Chien de la casse" de Jean-Baptiste Durand / Raphaël Niewjaer
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Un village occitan : sa placette où l'on se retrouve la nuit, ses murs qui forment comme une muraille, son labyrinthe de rues vides. Si le décor paraît familier, dès les premiers plans, Jean-Baptiste Durand se détache d'un strict naturalisme. On dirait le Sud, mais avec une lumière très douce, tamisée, parfois même voilée. D'emblée, "Chien de la casse" impose sa stylisation, qui l'inscrit dans une généalogie remontant à Pagnol, Giono, voire au Renoir de "Toni". Sommaire. Un Hérault très discret, la critique du film. Partir de l'acteur, entretien avec Jean-Baptiste Durand.
Voir le numéro de la revue «Cahiers du cinéma, 797, 01/04/2023»
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