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Traces, trajets et quêtes
Trois films français mettent en jeu, en cause et en situation l’exercice traditionnel de la fiction, inventant de nouvelles formes de psychologie (Mischka, de Jean-François Stévenin), redéployant avec une apparente naïveté l’art de la dérive (Lundi matin de Otar Iosseliani) ou proposant une réflexion en creux sur la création littéraire (Le Stade de Wimbledon, de Mathieu Amalric).