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Burundi. Rien pour les victimes de la folie guerrière / Antoine Kaburahe
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L'accalmie que connaît le pays favorise l'expression de troubles psychologiques liés à une guerre civile dont l'impact reste vivace. Le directeur de l'unique centre de soins psychiatriques souligne le besoin urgent de formation et de moyens.
Voir le numéro de la revue «Alternatives internationales, 50, 01/03/2011»
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