0 avis
La Pierre dans les petits papiers des épargnants / Christophe Morel
Article
Regain d'intérêt, en France, en 2012, pour les SCPI (Société civile de placement immobilier) qui était autrefois une classe d'actif uniquement connue des initiés. Une redécouverte qui s'explique essentiellement par le fait que la crise a fait rechercher à l'ensemble des spécialistes de l'épargne de nouveaux produits pour essayer de trouver une solution aux besoins de leurs clients. Si les SIIC (sociétés d'investissement immobilier cotées) apparaissent plus liquides, étant sur le marché boursier, les SCPI vont séduire les épargnants agissant sur le long terme par leur rendement élevé et, surtout, stable dans le temps. Toutefois les SCPI restent réservés aux investisseurs disposant de plusieurs dizaines de milliers d'euros et qui peuvent immobiliser leurs fonds pendant plusieurs années. Court entretien avec un expert : "Les épargnants cherchent de nouvelles voies d'investissement et des conseils".
Voir le numéro de la revue «Nouvel économiste, 1639, 22/11/2012»
Autres articles du numéro «Nouvel économiste»