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François Hollande, président à Bangui / Anne-Cécile Robert
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"La principale difficulté ici, c'est qu'on ne peut pas voir qui est l'ennemi et qui ne l'est pas", estime le lieutenant-colonel Pontien Hakizimana, à la tête du premier bataillon burundais de la mission de soutien à la Centrafrique. Les troupes africaines doivent, à terme, prendre le relais des forces françaises. Mais la confusion qui règne dans le pays a des racines profondes, et l'engagement de Paris devra sans doute se prolonger.
Voir le numéro de la revue «Le Monde diplomatique, 718, 01/01/2014»
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