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En Bolivie, sur la route avec l'élite de Santra Cruz / Maëlle Mariette
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Du "Wall Street Journal" aux franges les plus écervelées de la gauche internationale, la quasi-totalité des commentateurs ont défendu l'idée que le président bolivien Evo Morales avait fraudé lors du scrutin présidentiel de novembre 2019. Leur erreur a contribué à priver le chef d'Etat sortant de sa victoire au premier tour, au profit d'une élite réactionnaire, établie à Santa Cruz. Cette dernière rêve de prendre les rênes du pays, mais ses espoirs devraient être douchés lors du nouveau scrutin, prévu le 6 septembre 2020.
Voir le numéro de la revue «Le Monde diplomatique, 796, 01/07/2020»
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