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En Gambie, sur les traces d'une odeur de poisson pourri / Ian Urbina
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Développée à un rythme frénétique dans les années 1990, la pisciculture devait résoudre le problème de la surpêche. La majeure partie des poissons consommés sur terre provient désormais d'élevages. Lesquels se nourrissent notamment de farine de... poisson sauvage. Sur les côtes gambiennes, des pêcheurs pauvres alimentent les chaudières de cette industrie infernale.
Voir le numéro de la revue «Le Monde diplomatique, 807, 01/06/2021»
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