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La Re-présentation du corps-témoin, vingt ans après / Laure Coret
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Entre chanson et théâtre, c'est sur scène, dans nos villes, après les fantômes parasitaires qui gênaient Bee Bee Bee - personnage principale de la pièce "Rwanda 94", une tentative de réparation symbolique envers les morts, à l'usage des vivants -, que se sont invités, vingt ans après, les victimes et les rescapés du génocide des Tutsi du Rwanda. Pourquoi ? Pourquoi ce retour concret, corporel, incarné, à nos vues, à nos sens, vingt ans après ?
Voir le numéro de la revue «Les Temps modernes, 680-681, 01/10/2014»
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