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Daniel Arasse et Georges Bernanos : On ne voit décidément plus rien, ni Dieu ni diable / Juan Asensio
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Il pourrait sembler loufoque de rapprocher le grand historien de la peinture que fut Daniel Arasse de Georges Bernanos. Pourtant l'un et l'autre ont su nous réapprendre à voir les derniers signes du sacré, divin ou maléfique.
Voir le numéro de la revue «Etudes, 4215, 01/04/2015»
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