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Pour Alep, la moindre des choses / Jonathan Chalier
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Deux cent cinquante mille personnes sont toujours piégées à Alep et risquent la mort. Personne n'y entre ou n'en sort depuis trois mois. Celle qui était la capitale économique du pays, au fort patrimoine culturel, est désormais une ville fantôme. La mort, la prison ou l'exil : telles sont les options des Syriens.
Voir le numéro de la revue «Esprit, 431, 01/01/2017»
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