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BFR sous contrôle / Romain Thomas
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Les BFR (besoin en fonds de roulement) est surveillé de près par les entreprises puisque cet indicateur correspond aux liquidités dont elles ont besoin pour assurer leur activité. Pour agir sur le BFR, les entreprises doivent diminuer le plus possible le temps mis par la clientèle pour régler ses factures, négocier des délais de règlement plus long auprès de leurs fournisseurs, et enfin gérer leur niveau de stock. D'autres outils et services existent pour optimiser le BFR d'une entreprise, comme des logiciels de type CPM (corporate performance management) ou encore des techniques financières sophistiquées. Toutefois, les établissements de crédit ayant recours à ces solutions sont désormais confrontées à l'arrivée de nouveaux acteurs sur le marché du financement des besoins de trésorerie des entreprises : les fintechs. Elles proposent des services allant du financement à court terme assuré par des investisseurs via le crowdlending, à des offres de cessions de créances transférées par exemple à des fonds de titrisation. Des précisions. Pas de chiffres.
Voir le numéro de la revue «Nouvel économiste, 1942, 09/11/2018»
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