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A la manière des SCI : Le groupement foncier viticole (GFV), une manière de dissocier foncier et exploitation / Antoine Lannuzel
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Le point, en septembre 2011, sur les avantages de la constitution d'un GVF (groupement foncier viticole) par les producteurs de vins, en France, et les intérêts d'un tel placement pour les investisseurs. Un montage qui consiste à diviser le domaine en parcelles. Cédées à des porteurs de parts, ces dernières restent cultivées par le viticulteur, moyennant un loyer. Ce montage assure aux viticulteurs la pérennité de leur exploitation ou leur permet de pallier le coût du foncier. Si les GFV restent le plus souvent dans le cadre familial, certains d'entre eux sont ouverts aux investisseurs extérieurs. Les amateurs de vin peuvent ainsi concilier leur passion avec les avantages d'un placement sans risque, allégements fiscaux à la clé. Points abordés : maintenir l'unité du domaine ; avantages fiscaux ; tout dépend de la région. Encadré : formes juridiques, à chaque domaine son modèle.
Voir le numéro de la revue «Nouvel économiste, 1581, 22/09/2011»
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